Bonjour les zamis et amies,
Eh oui, restons dans la tradition pour le compte rendu de cette nouvelle rando autour de Guipavas
et le Relecq-Kerhuon.
Rendez-vous est donné sur le parking du Super U à Guipavas. Le gruppetto se compose d’Anne-Marie et André, de Christine et Marcel, du courageux Patrick, de Nicole et moi-même (l’autre Patrick).
Au programme 10 km avec petit dénivelé, le ciel est clément et la température aussi.
A 13h45, sous mon commandement le petit groupe soudé enchaîne ses premiers pas. Dédé, notre tireur de litres… pardon d’élite, est là pour nous couvrir, avec Marcel en deuxième position au cas où Dédé aurait des problèmes. Les deux Patrick couvrent les deux premiers au cas où ces même deux premiers auraient des problèmes, suivent les trois femmes qui discutent de la stratégie des deux Patrick pour couvrir Marcel le deuxième et Dédé le premier au cas où… Ben oui faut bien que Patrick number one surveille les trois femmes, que Patrick number two surveille Marcel le deuxième qui surveille Dédé le premier, facile non ! Bon “grève” de plaisanterie, tout se passe bien, il ne pleut toujours pas.
Petite séance photos et première petite pause, sur le chemin Marcel, de son œil de lynx, aperçoit une buse sur un arbre, pas une buse en béton, non non, une buse avec des plumes. Dédé n’a rien vu et nous sommes tous surpris pas cette faute grave. Dédé aurait-il des problème de vision ? That is the question.
Nous traversons la vallée du Cam sans problème, descendons vers la corniche du Relecq, photo traditionnelle et nous voici au niveau de la pyro St-Nicolas, tout va bien. Deuxième séance photo avec en arrière plan le viaduc de Millau… enfin de Kerhuon, plus que 4 km et deux petites montées .
Arrivée rue Henri-Dunant à 16h30, petite bière (sans S), jus de fruits ou café. Nous voici partis dans une grande discussion sur l’avenir de Dédé. Eh oui, mes sœurs et mes frères, doit-il rester dans le groupe après avoir failli dans son rôle de tireur d’élite ? La question est posée et sera soumise à la prochaine AG. Pour ma part je serai indulgent, mes sœurs et mes frères, Dédé n’est plus tout jeune, le pardon, cela existe .
A pluche les pouloutes.
Patrick, Reporter de l’Impossible